Il est bien pour la notoriété du produit que le vin ait des vertus physiologiques bénéfiques (au moins ça fait pas de mal !)
Cependant, l'argument est bien maigre face au lobby anti-vin (amalgamé avec l'anti-alcool) : le resveratrol et autres polyphénols se retrouvent dans de nombreux fruits et légumes et il n'est point besoin de boire de vin pour être en bonne santé.
Parfaitement en phase avec Christophe : défendons le vin pour et par ses aspects culturels et de savoir vivre...
Celui qui sait boire du vin n'a t'il pas tout simplement un style de vie différent, fait de tous les facteurs confondants qui peuvent exister et potentiellement expliquer les dit effets bénéfiques ?
Cette ferveur quasi-religieuse
(*) autour des bienfaits du vin me trouble quelque peu.
(*) le niveau de preuve est élevé pour les démonstrations physiologiques en tout genres, chez la souris notamment. Le niveau de preuve clinique est bien plus faible, fait d'études retrospectives avec nombreux biais.Cyrille