On ne peut pas dire que la campagne de commercialisation 2008-2009 ait démarré tambour battant. Le négoce est parti chercher des clients et ne se précipite pas aux achats, ce qui cause quelques frayeurs à la propriété. En Bourgogne, on parle d’un attentisme généralisé. A Bordeaux, les négociants sont loin d’avoir fait leur marché habituel; si quelques débouchés asiatiques sont encore actifs, beaucoup d’autres sont au point mort. Et l’on s’inquiète d’annulations de commandes des primeurs 2007, passées au printemps dernier.
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