Par contre j’ai bien dépensé mes petits sous en BOURGOGNE blanc 2006 et j’ai renforcé mes achats de ces jolis 2005 en plusieurs régions.
De plus, et c’est ce que je trouve inquiétant pour nos amis châtelains, on peut remarquer que les offres Primeurs 2006 sont encore pléthoriques dans presque toutes les références chez les bons spécialistes de la vente « primeurs », qui font à n’en pas douter, grise mine.
Quand certains osent annoncer une augmentation possible des tarifs du 2007, je me prends à rire ; même sans vous, je remplirai ma cave avec des vins d’autres régions, qui d’ailleurs ne cessent de me surprendre. Ne serait-ce pas de cette manière que l'on scie la branche sur laquelle on est assis?
Mon propos serait incomplet et injuste si à l’inverse je ne saluais pas ces propriétés raisonnables et qui font très bon à BORDEAUX, qualitativement pas si loin de ces seigneurs classés (voire mieux pour certaines) , et qui respectent leurs clients hexagonaux.
Pour moi c’est donc sur, il y a de plus en plus une vie après le BORDEAUX.
