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Messagepar Lalex » Lun 11 Avr 2016 16:40

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Primeurs de Bordeaux : un millésime 2015 très prometteur qui pourrait relancer les affaires
Les dégustateurs venus du monde entier présents à la semaine des primeurs des vins de Bordeaux l'affirment : 2015 devrait être un grand millésime, et qui pourrait relancer les affaires après un 2013 de pauvre facture et de faible quantité et un 2014 classique.





Ça se bouscule depuis lundi dans les salles de dégustation. Négociants, importateurs, critiques ou cavistes attendaient depuis longtemps pour se faire leur propre opinion du millésime 2015 qui a bénéficié de conditions de maturation rares avec une météo idéale. Et sans surprise, l'éloge le dispute à la dithyrambe.

"C'est le meilleur que j'ai jamais dégusté. Les vins sont jeunes mais déjà très accessibles avec un formidable fruit. Ce millésime est exceptionnel", assure Neil Pendock, propriétaire d'une cave à vins à Capetown (Afrique du sud).

"BLANCS ÉTINCELANTS, ROUGES SOYEUX"

"Ce 2015 est réussi dans toutes les appellations du Bordelais, avec certes quelques petites inégalités. On a de très beaux vins blancs, étincelants, et des rouges qui sont soyeux, croquants avec beaucoup de fruit et d'élégance. Il est dans la lignée des derniers grands, les 2005, 2009 et 2010", abonde Stéphane Toutoundji, oenologue, co-associé au laboratoire de conseil aux propriétés viticoles, Oenoteam.

"Il y a de quoi s'enthousiasmer, c'était de grands raisins et c'est un grand millésime avec des vins précis, meilleurs que ceux que l'on a jamais fait", confirme l'oenologue mondialement réputé Michel Rolland. "Pour le comparer dans l'échelle des grands millésimes, on a la puissance des 2005, des tanins très soyeux, de la densité et de la belle longueur et la rondeur et le charme solaire des 2009", esquisse-t-il.

Si les primeurs, c'est-à-dire la vente à des négociants suivant des contrats d'exclusivité puis la revente immédiate à des particuliers qui ne recevront leurs vins que lors de la mise en marché d'ici 18 mois à un tarif généralement supérieur à celui qu'ils auront payé, ne concerne qu'environ 150 crus classés de Bordeaux, soit 2% de la production, toute la filière entend profiter de l'aura médiatique suscitée pour clamer haut et fort que le 2015 est "bon partout".

"DE TRÈS BONS VINS À DES PRIX ABORDABLES"

"La force de Bordeaux c'est les terroirs, les vignerons. C'est la région avec le meilleur rapport qualité-prix au monde. Tous les 2015 sont de très belle facture tant sur les petites que les grandes appellations", assure Stéphane Toutoundji, dont la société est spécialisée dans ces vins à partir de 10 euros et qui "conseille au grand public de se pencher sur ce millésime un peu béni des dieux".

"L'avantage des grands millésimes fait que chacun dans sa catégorie a fait de très bons vins. Le problème c'est que l'on focalise toujours sur le top Bordeaux, les classés, mais il y a de très bons vins à des prix très abordables à Bordeaux, il faut le dire plus", s'accorde à dire Michel Rolland.

Néanmoins, ce seront les notes des critiques les plus influents qui détermineront pour partie le marché. Elles sont attendues dans la foulée des dégustations et les grands crus classés fixeront, fin mai, le prix de leurs bouteilles.

"NE PAS CASSER LE MAGNIFIQUE JOUET DES PRIMEURS"

Et qui dit millésime exceptionnel, dit aussi augmentation des prix. Mais "attention de pas casser le magnifique jouet des primeurs" prévient un courtier influent de la place bordelaise, chargé d'authentifier les transactions entre propriétés et négociants et qui appelle les propriétaires "à la mesure".

Car depuis la flambée des prix sur les millésimes 2009 et 2010, en grande partie conséquence de l'intérêt de nouveaux acteurs chinois, la qualité des millésimes suivants n'était pas au rendez-vous alors que les prix sont restés démesurément hauts.

Cependant, cette année était remarquée la présence de nombreux Américains, grands acheteurs de Bordeaux en primeurs lors de grands millésimes.

"Sur ce 2015, les Américains seront intéressés. Le marché des cadeaux en Chine, qui avait porté les primeurs 2009 et 2010 s'est, lui, effondré. Mais les conditions sont là pour que tout le monde fasse de très bonnes affaires", juge Olivier Bernard, président de l'Union des grands crus de Bordeaux, organisatrice de cette semaine des primeurs.


www.larvf.com


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Messagepar Lalex » Lun 11 Avr 2016 16:44

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Domaine Clusel-Roch : en Côte-Rôtie, une famille courageuse convertie au bio
Si l’appellation Côte-Rôtie jouit aujourd’hui d’un tel prestige, c’est grâce à ses vignerons et à leur travail antérieur à l’explosion du vignoble. Brigitte Roch et Gilbert Clusel incarnent cette tradition paysanne qui est la pierre angulaire du vignoble de Côte-Rôtie.


www.idealwine.net


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Messagepar Lalex » Lun 11 Avr 2016 16:49

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Chez Gosset, un brut 15 ans de cave
C'est une "première" en Champagne. Jamais encore on n'avait osé imaginer fonder la réputation d'une cuvée sur la durée de son séjour en cave.

avis-vin.lefigaro.fr


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Messagepar Lalex » Mar 12 Avr 2016 08:47

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Important incendie dans un bâtiment de stockage à Vosne-Romanée

Un important incendie s'est déclaré aux alentours de 10 heures cjeudi matin dans un bâtiment de stockage situé 11, rue de la Fontaine à Vosne-Romanée et appartenant au domaine Leroy. L'incendie a détruit du matériel agricole et a fait exploser des bonbonnes de gaz, d'où les explosions entendues par les riverains.

L'incendie n'a pas fait de blessés.

Vingt-deux pompiers de Nuits-Saint-Georges, de Gevrey-Chambertin et du Sdis ont rapidement éteint le sinistre.


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Messagepar Lalex » Mer 13 Avr 2016 20:34

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[PRIMEURS] Pourquoi Michel Rolland enflamme les débats
La prise de parole de Michel Rolland diffusée le 4 avril sur Terredevins.com a suscité beaucoup de reprises et d’interrogations. Dans ce papier, Michel Rolland, le célèbre winemaker bordelais, n’a pas ouvert le robinet d’eau tiède mais s’est clairement emporté en répondant à une question qui était destinée à valoriser Bordeaux : « Le millésime 2015, déjà précédé d’avis très flatteurs, est-il un antidote au ‘Bordeaux Bashing’ ? »
A cette question simple, Michel Rolland a répondu sans retenue. Pourquoi ? Décryptage en quatre questions.




Dans quelles conditions s’est déroulée cette interview ?
Notre journaliste, Laura Bernaulte, a préparé en amont une série de « Questions du jour » destinées à alimenter notre chronique des primeurs et a contacté Michel Rolland en lui expliquant clairement pourquoi elle l’appelait. Michel Rolland, pour rappel, ne fait plus partie depuis longtemps des enfants de chœur et connaît la grand-messe des médias. Il leur doit en partie sa renommée, il a su en tirer profit quand sa notoriété n’était pas encore acquise, il sait se jouer d’eux, il sait aussi entretenir avec eux quelques inimitiés ou amitiés. Bref, en fin politique du vin – car Rolland est une institution – il connaît toutes les règles du jeu et les dessous des cartes.

Quelles sont les réactions sur la toile ?
A propos sans filtres, réponses sans filtres. Les réactions sur les réseaux sociaux ont parfois été à la mesure du langage fleuri employé par l’interviewé, certains internautes profitant de l’occasion pour exprimer haut et fort leur perception négative du monde du vin à Bordeaux et pour donner leur avis sur le travail du « flying winemaker » – ou du moins ce qu’ils croient en connaître. D’autres ont salué le franc-parler et la liberté de ton de Michel Rolland, dans un milieu où le discours diplomatique est souvent de rigueur. Beaucoup ont souligné que « Michel Rolland dit tout haut ce que les autres pensent tout bas » , quelques-uns ont regretté à mots couverts que des amalgames soient faits entre tous les journalistes spécialisés – comme si tous les consultants en œnologie étaient mis dans le même panier. In fine, la remarque la plus pertinente reste celle-ci : alors que la question posée visait à « calmer » le Bordeaux Bashing face à un millésime prometteur, la réponse ne donne-t-elle pas encore plus de grain à moudre aux adeptes du « Bordeaux Bashing » ?

Fallait-il publier ces propos ?
La réponse est oui. D’abord parce qu’ils ont été recueillis en totale transparence. Michel Rolland est grand , il sait quel message il veut faire passer et pourquoi. Visait-il toute la profession ? Probablement pas. Il est de notoriété publique en revanche que quelques journalistes l’agacent au plus haut point, sous prétexte qu’ils auraient commis des articles critiques à l’égard de Bordeaux. Cet exercice du « micro ouvert » montre toutefois ses limites et, de la même façon que le documentaire « Mondovino » de Nossiter n’offrait qu’une image partielle et tronquée de Michel Rolland, cette prise de parole ne peut à elle seule dépeindre Michel Rolland. Résumer Michel Rolland à la brutalité de ce propos, c’est oublier sa carrière, sa réussite et la réussite de ceux qui lui doivent beaucoup, c’est oublier son talent.

Et maintenant ?
Maintenant… la vie continue. La campagne des Primeurs va battre son plein, avec des négociants qui vont tenter de faire comprendre aux courtiers que les projets de hausse sont excessifs et des propriétaires qui vont vanter l’excellence de ce 2015 avec des prix qui doivent évidemment être revus… à la hausse. C’est la vie à Bordeaux. Michel Rolland recevra à table les journalistes pour fêter tout ça, avec quelques bons mots et franches rigolades comme il a l’habitude de le faire, et comme ce fut encore le cas le 25 mars à Paris chez le chef Alain Passard. Les mots passent, les millésimes restent. C’est la magie des bordeaux.


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Messagepar Lalex » Mer 13 Avr 2016 20:51

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Carnet de Route des Vins : L’Espagne
Après la Suisse et la Vallée d’Aoste, Benjamin Gras profite de quelques heures de trajet en bus sur l’autoroute A1 entre Lisboa et Porto, pour vous raconter son expérience espagnole. Il ne vous parlera que des régions d’Espagne qu’il a visité, autrement dit la Catalogne (Penedes, et Priorat), la Navarra et la Rioja & la Ribera del Duero, mais vous aurez déjà une bonne vision de la route des vins de ce beau pays. Commençons par la Catalogne !


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Messagepar Lalex » Mer 13 Avr 2016 21:00

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La naissance des "3 Glorieuses" du Beaujolais ?
Le Beaujolais organise du 9 au 11 avril une série de manifestations professionnelles destinées à montrer un vignoble qui met en valeur ses terroirs et ses grands vins.


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Messagepar Lalex » Ven 15 Avr 2016 18:41

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[PRIMEURS] Haut-Brion / Quintus : 2015, d’une rive à l’autre
Comment château Quintus, créé en 2011 à Saint-Emilion, peut-il faire sa place face au monstre sacré Haut-Brion, 1er grand cru classé en 1855 (Pessac-Léognan) ? La réponse de Jean-Philippe Delmas, à la tête de la société « Domaine Clarence Dillon », propriétaire de ces deux crus, ainsi que du cru classé de Graves Château La Mission Haut-Brion.

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Messagepar Lalex » Ven 15 Avr 2016 18:59

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Bourgogne Beaujolais
La grêle détruit les bourgeons
Plusieurs secteurs du Beaujolais et de la Bourgogne ont été touchés par des orages de grêle. La vigne, qui portait ses jeunes bourgeons, a été endommagée.

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Messagepar Lalex » Ven 15 Avr 2016 19:10

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Derek Smith : "Les Chinois sont fous de sauternes"
L'homme d'affaires, qui vient d'acquérir le château de Rayne Vigneau, premier cru classé de Sauternes, croit au succès asiatique de cette appellation un peu délaissée.

Le businessman franco-américain, tycoon de la vente par correspondance, à la tête du groupe Trésor du patrimoine - qui comprend notamment L'Homme moderne et Léon Fargues -, achetait fin 2015, à la filiale du Crédit agricole CA Grands Crus, le château de Rayne Vigneau, premier cru classé de Sauternes. Derek Smith évoque notamment l'excellent débouché que représente la Chine pour ce vin parfois considéré comme démodé en France. Rencontre.





LE FIGARO. - Comment a commencé cette aventure avec le château de Rayne Vigneau ?
Derek SMITH. - Simplement, j'ai regardé le dossier, puis, avant de poursuivre, comme j'en ai l'habitude, je suis allé sur place pour humer la situation. Je suis tombé amoureux de cette propriété parce que c'est un miracle de la nature d'avoir une vue à 360 degrés sur un vignoble juste d'un seul tenant si bien entretenu, d'une qualité technique exceptionnelle. Et le vin est fantastique, il a énormément de saveur et de nez, il vous reste sur les papilles comme nul autre...

De plus, le prix de l'hectare à Sauternes est bien inférieur à celui de Saint-Émilion ou du Médoc...
À 2 ou 3 millions l'hectare, Saint-Émilion peut être intéressant pour placer sa fortune. Mais ce n'est pas notre objectif. Nous sommes un groupe qui cherche à se développer. L'idée est quand même que l'affaire fonctionne.

Le montant de la vente aurait tourné entre 40 et 45 millions d'euros. Vous confirmez ?
Moi, je ne peux pas confirmer... C'est confidentiel. Mais les montants que vous annoncez sont raisonnables.

De grands noms du vin, comme Bernard Magrez ou Silvio Denz, ont récemment investi dans le Sauternais. Comment expliquez-vous l'attractivité de cette appellation ?
Je crois que d'autres ont établi le même état des lieux que nous, à savoir que le Sauternais est un peu délaissé, qu'il y a des choses à faire et que, de toute manière, les prix ne pourraient être plus bas qu'aujourd'hui. Je trouve rassurant que des personnes qui agissent dans le domaine du vin fassent profiter Sauternes de leur expérience, de leur bonne notoriété. Cela va servir tout le monde. Je crois que tous les premiers grands crus doivent se serrer les coudes maintenant et travailler ensemble à la défense de la marque, à la défense du Sauternais.

Toutefois, le sauternes a moins la cote que d'autres vins. On lui reproche parfois sa grande douceur...
Quand vous regardez l'engouement actuel de certaines populations pour des vins plus moelleux ou des vins plus doux, et l'évolution des papilles des consommateurs de par le monde, que ce soit en Amérique latine, en Amérique du Nord ou en Chine évidemment, vous pouvez être confiant sur l'avenir de Sauternes. Les Canadiens fabriquent des ice wines sucrés, les Australiens des sugar wines... Certains producteurs du Nouveau Monde n'hésitent pas à mettre la mention "botrytised wine" sur leurs étiquettes, en référence à la pourriture noble que l'on retrouve sur le raisin à Sauternes. C'est dire.

Avez-vous déjà commencé à exporter votre sauternes en Chine ?
Nous avons, en effet, un bureau en Chine, et lorsque j'ai parlé de Château Rayne Vigneau, tout de suite l'équipe m'a dit : "Il faut le vendre ici." Vous savez, les Chinois travaillent 24 heures sur 24 à une vitesse fantastique, c'est une vertu que nous ne pouvons pas leur retirer. L'enthousiasme était tel que je me suis penché sur l'idée, pour voir si nous pouvions profiter de nos contacts. J'ai surtout constaté cet engouement pour le sauternes. J'ai compris que ce vin correspondait parfaitement bien à leur goût naturel : ils aiment les choses douces. Le sauternes s'accorde très bien avec leur nourriture...

Ne seriez-vous pas un peu trop optimiste ?
Non, ce sont les Chinois eux-mêmes qui le disent. Nous avons organisé un dîner composé exclusivement de plats chinois, nous avons bu du sauternes tout au long du repas, et cela a parfaitement fonctionné : ils ont tous été étonnés que cela s'accorde si aussi bien avec du canard laqué qu'avec des mets sucrés.


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Messagepar Jean-Pierre NIEUDAN » Ven 15 Avr 2016 20:53

Un article de Jacques Dupont qui m'a bien fait rire :D

Journal des primeurs 13 : les mots de l'année !

De l'art de la rhétorique vineuse, ou comment soigner les maux par les mots.

Chaque millésime possède son histoire, ses mots, son discours. Pour le non-initié, c'est un peu troublant quand il entend chez des gens animés de convictions différentes – catholiques, protestants, BMW, Mercedes, bœuf de Bazas ou lamproie – des récits assez similaires du processus qui a conduit à produire un vin « épatant » comme dirait Jean d'Ormesson. D'aucun complotistes se sont imaginés, à tort, que dès la fin janvier s'organisaient autour de quelques leaders incontestés des sortes de répétition générale où chacun, propriétaires, directeurs techniques, chargés de communication apprendraient par cœur les slogans du moment. Une préparation un peu à l'image de ces grandes fêtes millimétrées dont raffolent les dictatures où des jeunes gens reproduisent dans un assemblage impeccable et coloré, le drapeau ou la photo botoxée du timonier irremplaçable.

Rien de tout cela n'est vrai. Si, depuis que nous rencontrons dans le Médoc patrons de crus et techniciens communicateurs, nous avons relevé quelques similitudes de langages, c'est uniquement dû à une forme de télépathie défensive qui puise ses racines dans la nécessaire répétition discursive.
Mettez-vous à la place de celui qui reçoit 1 300 visiteurs en 5 jours et qui doit à chaque fois expliquer que non la pluie ça ne mouille pas tant que ça et que ce qui compte, c'est de « préserver le fruit ». Forcément, au bout de quelques heures on poétise, on se crée son propre champ lexical qui échappe aux simples normes de Météo-France pour se sublimer dans la métaphore et éviter la schizophrénie. Et peu à peu se construit au fil du temps et sans concertation, une sorte de discours lyrique et commun (dans le sens appropriation) que Lacan à résumé ainsi : « Seul l'amour permet à la jouissance de condescendre au désir. »

Bref, si les mêmes mots nous reviennent en boucle chez ceux qui s'apprêtent, calculette en main, à tarifer ce que la table de tri a bien voulu retenir, c'est de l'amour sublimé.

Certes, voilà un concept difficile à expliquer brièvement sur une contre étiquette, mais Le Point ne renonçant jamais à éclairer ses lecteurs tente ici une première approche dans l'esprit qui anima Furetière quand il entreprit, au XVIIe siècle, la rédaction du premier dictionnaire universel. Il s'agit là d'une approche et non d'une liste exhaustive.

Abats : mot peu usité dans le Médoc, mais qui semble plus répandu dans les dialectes pratiqués sur la rive droite de la Garonne et de la Dordogne notamment autour de la charmante petite ville de Saint-Émilion. Abats d'eau résume la pluviométrie assez fournie qui aurait pénalisé leurs confrères médocains.

Bénéfique : très répandu cette année, cet adjectif permet de positiver le handicap. Exemple : « La pluie de début octobre a été finalement bénéfique, car elle a permis d'avoir des vins plus frais. »

Bio : ancien, adjectif qui désignait naguère une peuplade chaussée de sabots, aux mœurs dissolues, vivant sous le seuil de pauvreté et produisant des vins acres s'accordant à merveille avec le boulgour et son lait de soja. Citation : « Jamais sous nos climats nous ne pourrons produire en bio. Ici, nous ne sommes pas en Languedoc, monsieur… » Anonyme, tout début XXIe siècle.

Bio : moderne, adjectif désignant un producteur qui a saisi le sens de l'histoire bien avant que la mode ne s'empare du concept. Citation : « cela fait des années que nous travaillons plusieurs hectares en bio, et même en biodynamie, dans la partie du vignoble en haut-médoc. On pourrait vous le montrer,mais malheureusement, le chef de culture est parti avec le 4/4. » Anonyme, début XXIe siècle.

Équilibré : désigne un vin très fortement chargé en alcool, mais dont l'acidité et les tanins en gomment la sensation. Pour celui qui le consomme, le soir, espoir. Le lendemain matin, chagrin.

Pluie : chute d'eau qui ne mouille pas, ruisselle, et s'écoule chez le voisin.

Humide : période de précipitations que les anciens qualifiaient familièrement de « vaches qui pissent ».

Grands cabernets (ou grands merlots) : désignent ces ceps qui, sur le champ de bataille, semblables aux grognards de Napoléon, ne reculent jamais, résistent face à l'agression solaire, méprisent les outrages des nuages chargés d'eau. On ne connaît pas d'inverse. Personne ne nous a présenté de petits cabernets ou des merlots nains.


De Jacques Dupont
http://www.lepoint.fr/vin/journal-des-p ... 36_581.php
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Messagepar Lalex » Sam 16 Avr 2016 12:10

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Étoilé Sparkle : un verre à champagne révolutionnaire
Fruit de la collaboration entre designers italiens et chefs de l’association des Maîtres Cuisiniers de France, Etoilé Sparkle, un verre à champagne révolutionnaire arrive sur les tables. Et pas seulement au restaurant.


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Messagepar Lalex » Sam 16 Avr 2016 12:19

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Journal des primeurs 12 : trois questions à Laurent Cisneros
Laurent Cisneros, propriétaire du château de Rouillac : « Le système a vieilli, le vignoble bordelais vit une véritable période de transition. »
Par Jacques Dupont

Après une carrière de joueur de foot en deuxième et troisième division, Laurent Cisneros a repris la petite entreprise de son père, chauffagiste à Angoulême, dont il a fait en quelques années une société florissante. En 2010, Laurent Cisneros vend au groupe Vaillant, spécialiste des systèmes de chauffage et numéro un en Europe, et entreprend alors de réaliser un projet qui lui tient à cœur : marcher sur les pas de son aïeul vigneron. « J'avais toujours dit à mon épouse qu'on finirait à Bordeaux dans un domaine viticole... »

Ancienne demeure du baron Haussmann, celui des grands boulevards parisiens, qui fut pendant une vingtaine d'années sous-préfet de Gironde, Rouillac rouillait tranquillement. Laurent et Sophie Cisneros ont remis en route la propriété, alliant l'univers du vin et celui des chevaux. À l'occasion de la présentation des primeurs 2015, Laurent Cisneros répond aux questions du Point.





Le Point : Comment ressentez-vous le rejet des vins de Bordeaux de la part des consommateurs et de bon nombre de prescripteurs, ce que l'on nomme le « Bordeaux bashing » ?
Laurent Cisneros : Le vignoble bordelais vit une véritable période de transition. Bordeaux s'est construit autour des châteaux, des courtiers, du négoce, c'est un cercle vertueux… un système unique qui a beaucoup prouvé historiquement. Mais l'évolution est rapide et ce système a vieilli. Je suis là depuis six ans et je m'appuie sur l'historique, on ne peut pas tout renier ! Mais je pense que le gros problème de Bordeaux aujourd'hui, c'est que nous sommes trop déconnectés des consommateurs... On ne peut pas être aussi éloigné du consommateur final ! Ce n'est plus tenable. La bonne nouvelle, c'est que nous en sommes tous conscients, mais la question est : comment faire pour changer cette situation ? Par exemple, lorsque l'on fait des salons grand public, on voit de plus en plus de jeunes amateurs de vins qui nous disent : c'est vraiment très bon ! Mais, ensuite, ça ne se traduit pas dans l'acte d'achat.

Quelles peuvent être les solutions ?
Avant d'envisager les solutions, je pense qu'il faut tout mettre sur la table et repartir sur des bases saines. Il n'y a pas de sujets tabou. Par exemple, nous devons prendre part au débat actuel sur les pesticides et les produits phytosanitaires, c'est un vrai sujet de société ! Il faut savoir se remettre en cause, mais en faisant la part des choses. Prenons l'exemple de notre appellation, pessac-léognan : 30 % de notre production est vendue en Aquitaine, nous sommes l'appellation préférée des bordelais, c'est un atout formidable. Il faut évoluer avec son temps, ouvrir les portes et faire venir les consommateurs dans les propriétés. Je pense que l'une des solutions les plus efficaces, c'est le développement de l'œnotourisme. La notion de sympathie, de convivialité, c'est tout ce qui manque à notre image !

Vous évoquez souvent votre expérience passée d'entrepreneur. En quoi vous est-elle utile dans l'univers du vin ?
Je fais tout d'abord un constat : le monde du travail a beaucoup changé. Dans les années à venir, il va rester les très gros et les petits agiles, très réactifs. Les structures de taille moyenne galèrent, se débattent avec les réglementations et les charges et, de plus, les intermédiaires disparaissent. À Bordeaux, les métiers de courtier et de négociant vont devoir évoluer, s'adapter, le négoce n'est pas constructeur de marques, ce sont des diffuseurs. Il faut donc repenser le modèle économique de nos propriétés. Mon expérience dans le monde de l'entreprise m'a beaucoup servi pour relancer Rouillac.
Bien sûr, le choix historique de Bordeaux, c'est l'export, mais pour ça, il faut être solide chez soi, c'est la priorité. Donc, chez moi, je construis ma marque et je m'adresse directement à des consommateurs finaux. Ce n'est rien de plus qu'une logique d'entreprise !


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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Sam 16 Avr 2016 12:24

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6 pieds sous terre
18 mois d’élevage pour 3 fûts de Brouilly
A l’occasion du gamay day, trois cuvées ont été enterrées. Mises en dormance, elles seront exhumées

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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Sam 16 Avr 2016 12:26

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Faut-il enseigner l’histoire et la civilisation du vin à l’école ?
La proposition de loi d’un sénateur italien propose d’introduire une matière éduquant les écoliers à la « culture du vin », qui serait obligatoire à l’école élémentaire et au collège. Le débat est lancé en Italie… franchira-t-il les Alpes ?

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Messagepar Lalex » Sam 16 Avr 2016 17:38

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2 000 hectares grêlés dans le Mâconnais !
Plus de 2 000 hectares touchés, 80 à 100% des bourgeons tailladés sur certains coteaux... Les crus du sud-Mâconnais (71) ont été sévèrement frappés par la grêle hier après-midi.



Des coteaux blancs, comme couverts de neige en plein hiver et tranchants avec le noir du ciel, des rues remplies de grêlons... "On aurait pu passer le chasse-neige", assure Mme Gonon, vigneronne à Vergisson, la voix encore tremblante près de 24 heures après l'orage. Les crus du sud-Mâconnais (Pouilly-Fuissé, Loché et Vinzelles, Saint-Véran - 71) ont connu hier après-midi, entre 15 h 30 et 16 h 00, un épisode de grêle "historique" par la période à laquelle il intervient, par sa durée, 15 à 20 minutes, son intensité, les témoins parlent de grêlons de 1 à 2 centimètres de diamètre et par son étendue. Souvent en Bourgogne, les orages de grêle d'été suivent un couloir relativement étroit de quelques centaines de mètres de largeur ; rien de tel hier et on peut même estimer que près de 2 500 hectares de vignes ont été plus ou moins touchés sur une distance nord-sud de 7-8 kilomètres entre Prissé au nord et Chânes au sud pour le Mâconnais, voire Juliénas encore plus au sud dans le vignoble du Beaujolais.

Arrivé du sud-ouest, l'orage a d'abord frappé les crus de Juliénas et Saint-Amour, où les dégâts semblent limités (les vignes de gamay étaient moins avancées) avant d'aborder les chardonnays du Mâconnais sur les communes de Chasselas, Leynes (AOC Saint-Véran) et Solutré-Pouilly (Pouilly-Fuissé). Dans ces villages situés en première ligne, les premières estimations font état de 80 à 100% de bourgeons arrachés ou tailladés ; précisons que la vigne n'en était, en cépage chardonnay, qu'au débourrement avec les premières petites feuilles apparentes dans les secteurs les plus précoces. "En allant vers le nord et vers l'est, il semblerait que la grêle se soit un peu délitée", explique Kevin Tessieux, vigneron à Davayé (Domaine des Deux Roches) et président du cru Saint-Véran, qui précise que même dans les secteurs relativement épargnés : "20 à 40% des bourgeons sont néanmoins touchés".

A peine né, le millésime 2016 est-il déjà compromis dans le sud du Mâconnais ? En partie, oui, celle semble être une évidence."Dans le cas d'un bourgeon arraché, il y a toujours derrière un deuxième bourgeon, mais moins fructifère que le bourgeon principal. Ces deuxièmes bourgeons devraient sortir mais en produisant moins," explique Romain Cornin, vigneron à Chaintré (Pouilly-Fuissé), qui poursuit : "quand les petites feuilles ont été coupées ou déchirées, il faudra voir dans quelques jours si elles sèchent ou pas". Le chiffrage exact des pertes de récolte ne pourra donc pas se faire avant plusieurs semaines, mais il est déjà sûr cette date du 13 avril 2016 va rester longtemps dans la mémoire des vignerons du Mâconnais.


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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Mar 19 Avr 2016 10:05

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Primeurs Bordeaux : « si les prix sont bons, l’ensemble des marchés sera présent »
Alors que l’effervescence de la semaine des Primeurs est retombée à Bordeaux, le monde du vin retient son souffle en attendant que les propriétés fixent le prix de leur millésime 2015. En première ligne, le négoce. Rencontre avec Ariane Khaïda, directrice générale du négociant bordelais Duclot.

Créée en 1886, Duclot est possédé depuis 1956 par la famille Moueix (Petrus). La maison de négoce commercialise ses vins auprès des professionnels, restaurateurs et cavistes en France et aux États-Unis, mais aussi importateurs et grossistes spécialisés dans plus de 80 pays. Depuis les années 1970, Duclot vend également aux particuliers dans ses magasins de Bordeaux, Paris et Bruxelles, et sur son site chateauprimeur.com dédié à la vente de bordeaux primeurs aux particuliers. A la tête de la maison de négoce depuis mars 2014, Ariane Khaïda a répondu aux questions de « Terre de Vins » en cette semaine post-primeurs.




Quel est votre ressenti sur les vins dégustés lors de ces primeurs ?
On a un très beau millésime, même s’il n’est pas totalement homogène. Les conditions climatiques ont été favorables, mais il y a des disparités d’une appellation à une autre et d’un cru à un autre. Ces différences sont surtout liées au terroir, aux décisions de récolte, de vinification… Globalement, c’est un très grand millésime rive droite, avec des vins absolument magnifiques. Rive gauche, les appellations margaux et pessac sont très belles. Il y a aussi des très beaux vins plus au nord, à Pauillac, Saint-Estèphe, Saint-Julien…

Avez-vous noté un regain d’intérêt des professionnels venus déguster à Bordeaux pour ce millésime ?
On a eu beaucoup de clients, du monde entier, ce qui est plutôt bon signe. Des marchés qui étaient moins à l’écoute lors des dernières campagnes primeurs sont revenus. Le marché américain a notamment été très présent, ainsi que des marchés européens tels que les marchés anglais ou français. Ce sont des marchés très matures au niveau des achats primeurs. On a vu aussi pas mal de clients asiatiques. L’intérêt est général et mondial. Nos clients ont le même ressenti que nous : c’est un très beau millésime.

Et du côté des particuliers, l’intérêt est-il également palpable ?
Absolument. Nous avons un site de vente par internet « Château Primeur » sur le marché français, le seul site 100% dédié aux primeurs. Nos clients nous appellent déjà depuis janvier pour avoir des nouvelles de nos premières dégustations. On a eu beaucoup d’inscriptions sur le site très en amont de la campagne. Le marché français est présent et bien présent. C’est une bonne nouvelle car il était peut-être un peu moins excité par les millésimes précédents.

Maintenant que la semaine des dégustations primeurs est finie, que va-t-il se passer ?
Après les dégustations, la campagne primeurs, c’est-à-dire la mise en marché, va débuter. Les premières mises en marché sont annoncées pour ce lundi 18 avril. Entre lundi et fin mai-début juin, chaque propriété annoncera petit à petit son prix de sortie. Il sera fixé en fonction de la demande, des discussions avec le négoce, de la position et de la force de la marque, du succès lors des campagnes précédentes… Chaque propriété est responsable de son prix de sortie.

Des hausses de prix semblent se préciser sur ce 2015. A quelle tendance de prix appelle le négoce ?
On peut imaginer et comprendre des prix à la hausse par rapport au millésime précédent, car les vins sont très bons. Pour parler de hausse par rapport à 2014, il faut que la campagne précédente ait fonctionné, c’est-à-dire que le prix ait été validé par les marchés. Il y a des grandes disparités d’une propriété à l’autre. Mais globalement, on a une forte demande, avec face à nous des marchés matures. On n’est pas du tout dans un contexte de bulle comme celui du marché chinois très présent en 2010. Il faut que les prix restent très raisonnablement en hausse, pour qu’ils se concrétisent par un vrai enthousiasme de la part de l’ensemble des marchés.

Percevez-vous d’ores-et-déjà des marchés plus réceptifs que d’autres en ce millésime 2015 ?
Si les prix sont bons, l’ensemble des marchés sera présent. C’est ce qu’il faut. Cet outil extraordinaire que sont les primeurs bordelais a été un peu mis à mal ces dernières années. Avec un vin comme celui qu’on a en 2015, une demande qu’on sent bien présente, il faut absolument faire de cette campagne un beau succès à Bordeaux. Mais surtout, et c’est beaucoup plus important, jusqu’au bout de la chaîne, jusqu’au client particulier français ou étranger.


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Messagepar Lalex » Mar 19 Avr 2016 10:08

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Meilleur sommelier du monde : David Biraud en demi-finale
Samedi soir, Gérard Basset, directeur du comité technique de l’Association de la Sommellerie Internationale, a annoncé les noms des 15 candidats pour qui l’aventure continue. C’est le cas pour David Biraud qui porte les couleurs tricolores ainsi que pour la Française d’Irlande Julie Dupouy.

On peut noter que les quatre sommelières présentes au début du concours sont toutes qualifiées pour la suite.


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Messagepar Lalex » Mar 19 Avr 2016 10:12

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Fin d'une époque
Robert Parker ne notera plus les bordeaux livrables
Après 38 ans de dégustations bordelaises, l’heure de la retraite semble proche pour l’influent critique américain. Il passe le relai à Neal Martin, en charge des primeurs depuis un an.


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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Mar 19 Avr 2016 10:17

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Journal des primeurs 14 : lettre à Élise
Les acteurs du monde viticole bordelais semblent disposés à communiquer sur leurs pratiques culturales… comme c'est bio !
Par Jacques Dupont

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