Ah bon..? C'est pas Bouzereau si je comprends bien..
Ben alors je sors mon tout dernier joker de la poche: Meursault Perrières Domaine des Comtes Lafon 2002? (que je n'ai jamais goûté)
"Jaune or pâle, avec un léger vert. Une belle robe vive et franche.
Nez encore relativement discret, axé sur la douceur et la fraîcheur. Du fruit à chair blanche sur fond légèrement toasté. Touche florale avec une discrète touche minérale. Verveine, pain grillé.
Rondeur et puissance, avec un bel équilibre moelleux/acidité . On ressent la richesse avec un rien de rigidité. Finale masquée par une "nervosité minérale" et un léger retour anisé réglissé.
Complexe et fin. Belle longueur. Boisé fin, discret, bien fondu. Puissance et rigueur. Harmonieux et élégant."
(tiré du site des CL)
IL faudra que tu m'expliques le rapport entre la maturité et le CR de Vincent (qui d'ailleurs, n'en parle pas du tout..!).
A ma connaissance, Jean-Marc Roulot et Dominique Lafon ont probablement des approches très similaires. Tous deux cherchant plutôt à saisir le début de la plage de maturité.. que la fin.
Michel Bouzereau, dans ce sens, est peut-être plus "classique".
De ce que j'ai goûté de Roulot, je crois qu'il met la minéralité encore plus en avant que Lafon.. ce qui n'est pas peu dire! C'est pour ça que je croyais que j'avions tout bon hier soir..