En fait, je rebondis directement sur un des derniers CR de Greg mais je me suis déjà souvent posé la question.
Jacquesson Signature 1988 :
Les stats d'Eric montrent qu'on note bien ses propres apports. C'est le cas ici à rebours d'autres dégustateurs, tout simplement parce que j'adore ce champagne que je bois pour la 3e fois.
Le nez est gourmand, sur des notes oxydative de fruits secs, de nougat, de moka
Bouche : gourmande, complexe, avec beaucoup de salinité et une belle longueur.
L'oxydation mentionnée comme un léger défaut est recherchée et ce champagne me paraît à point. 18/20[/
Il y a comme dans ce vin une oxydation recherché ( par le domaine ? ) qui fini donc par être plus une qualité qu'un défaut, il y a les vin oxudatifs qui sont élevés pour cela et il y a les vins oxydés ( = gros défaut ou mort ? ).
Voilà mes questions ( je précise que je n'ai jamais gouté de vin oxydatif ):
- Comment peut on prendre du plaisir sur un vin oxydatif alors qu'un vin légèrement oxydé ou oxydé est noté comme vin défectueux en dégustation ( j'imagine qu'il doit y avoir une différence ! )?
- Ou se situe la ligne ( même si cela doit être très subjectif ) entre un vin avec une oxydation recherchée sur lequel on prend "plaisir" et un vin oxydé qu'on vide dans le crachoir ?
- Quels sont les "aromes types" du vin oxydé et les retrouve t-on dans un vin oxydatif ?
Bon j'arrĂŞtes la avec les questions mais je pense que vous avez saisi le pourquoi du comment de cette question.
Alex,