par EricC » Dim 18 Jan 2015 14:01
A la bourre (Ã peine ...)
Jacquesson cuvée 736 :
Nez discret, safran léger, feuilles mortes, céréales. Bulle pêchue. L'attaque manque de franchise, puis la bouche évolue sur une fine amertume, crayeuse, dans un enrobage assez chaleureux.
15.5/20
Salon Cuvée S 1997 :
Plus évolué. Bulle très fine. Puissant, servi un peu chaud. Beau nez, complexité réhaussée par l'élevage. Bouche toute en variation, même si par moments l'ampleur est un peu juste. Joli champagne
17/20
Jacquesson Signature 1988 :
Nez plus puissant, moins élégant. Touche d'oxydation, un peu métallique. Bouche relativement monolithique, mais puissante, longue, sur une finale saline.
J'ai pensé à un chardo jurassien avec des bulles, dans le style ...
16.5/20
Hermitage blanc Chave 2007 :
Très beau nez. Bouche puissante, avec du gras, marquée par l'élevage (noix de coco, rhum). Réglisse à l'aération. La bouche manque légèrement de fraicheur, mais l'aromatique est sympa
Gros potentiel.
17/20
Comte Lafon Meursault Goutte d'Or 2010 :
Pète de soufre (ou de sensation de ...). Bouche équilibrée, droite et longue, mais écrasée par l'aromatique. A garder longtemps ...
16.5/20
Ramonet Bâtard Montrachet 2006 :
Pointe de réduction assez fugace. Côté floral, nez généreux. Me fait penser à un viognier dans un 1er temps. Puis graphite, élevage, épices (poivre, mélange du trappeur pour le côté caramélisé). Très belle longueur, superbe bouche. Rhaaaââ
18/20
Chapoutier Pavillon 2004 :
Je pars initialement sur Bordeaux, puis me ravise compte tenu d'un style qui me semble plus méridional. Fruits mûrs, bouche gourmande. Elevage. Sanguin. C'est bon, long.
17/20
Grange des Pères 2005 :
Une fugace impression de cabernet sauvignon, qui évoque pour moi une légère sous-maturité. L'élevage est sensible, ce qui accentue la légère sensation de liège qui me gêne surtout en rétro. La bouche offre un très beau toucher. Orange sanguine. Beau vin, mais qui ne me semble pas irréprochable.
16.5/20
Lafite Rothschild 1995 :
Nez bordelais, fumé, tabac, délicatement évolué. Très belle bouche, droite, tannins encore présents. Gros potentiel, le vin parait très jeune, grande longueur. Miam.
17.5/20
Mas Saint Louis Grande Réserve 2012 :
Nez sur les fruits noirs, bien "fondu". Milieu de bouche en relative finesse, finale plus puissante. J'ai pensé à une Côte Rôtie. Cacao.
16.5
Hommage à Jacques Perrin 1999
Bouchon => NN
Mordorée 1999
Le bouchon qui heurte la plupart ici ne me gêne pas tant que ça, contrairement à la GDP où je semblais plus gêné que d'autres. Mais le vin n'est assurément pas à son mieux
Style plus sudiste que le Mas St-Louis, la bouche est encore droite, "grâce" à une acidité qui ne parvient pas à s'intégrer. Finale poivrée.
NN
Yquem 1985
Rôti très sauternais, évolué. Bouche concentrée, avec des sucres bien fondus dans une liqueur dense, qui ne manque pas de gourmandise mais n'offre pas tout à fait la grandeur attendue
16.5