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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Thierry Debaisieux » Mer 6 Mars 2019 16:49

Merci Alexandre.
Ça mérite un lien dans la rubrique Larmandier-Bernier.
Je le mets.

Bonne fin de journée,
Bien cordialement,
Thierry Debaisieux
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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Mar 19 Mars 2019 09:49

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Millésime 2018, c'est parti !
Nos dégustations des vins du millésime 2018 ont débuté hier, mercredi 6 mars, à Fixin, en Côte de Nuits. Rendez-vous dans le numéro de juin-juillet de Bourgogne Aujourd'hui !



La première de nos 14 journées de dégustation des vins du millésime 2018 s'est déroulée hier, à Fixin (Côte de Nuits) ; elle était consacrée aux Fixin et Marsannay, villages et premiers crus, rouges et blancs, avec un peu plus de 100 échantillons. La deuxième dégustation a eu lieu dès aujourd'hui, à Chambolle-Musigny, en Côte de Nuits toujours, avec à la clef 170 échantillons supplémentaires de 2018 des villages de Chambolle-Musigny, Morey-Saint-Denis et Vougeot (avec le Clos de Vougeot). Suivront la semaine prochaine, Saint-Romain, Auxey-Duresses, Monthélie, les crus du Mâconnais et Meursault et ainsi de suite jusqu'à la mi-avril, avec au final la dégustation à l'aveugle (impératif !!!) de 2 500 à 3 000 échantillons pour nous permettre de faire dans le numéro de juin-juillet de Bourgogne Aujourd'hui une première synthèse aussi avisée que possible de ce millésime 2018 très chaud, très "solaire" et très attendu.

Déguster des vins en cours d'élevage n'est pas toujours chose aisée... Aussi, ces dégustations assez techniques sont donc assurées par les membres habituels du comité de dégustation de Bourgogne Aujourd'hui, avec le "renfort" d'oenologues et de courtiers parfaitement rodés à ce type d'excercice.

Les deux premières dégustations, consacrées donc presque exclusivement aux vins rouges de la Côte de Nuits, nous ont déjà permis de constater que chez les vignerons et négociants sérieux, qui comme toujours ont su maitriser les rendements (un point important en 2018...), récolter au bon moment et mener à bien leurs fermentations, 2018 est un millésime à l'évidence exceptionnel en pinot noir. On pouvait s'y attendre compte-tenu de la météo très chaude de l'année, mais c'est toujours mieux d'en avoir la confirmation.

Ce lancement de la campagne des dégustations du nouveau millésime est l'occasion pour nous de remercier les organisateurs et organisatrice des premières dégustations : Amélie Berthaut, Isabelle Collotte et "nanou" Naddef pour Fixin et Marsannay, Christian Amiot et son neveu Léon, Anne Sigaut, Paul Le Guen, Gilbert Felettig, Jérôme Castagnier, Christophe Roumier, Justine Clerget... pour Chambolle, Morey et Vougeot. A l'avance merci pour celles et ceux qui nous recevront dans les prochaines semaines.

Christophe Tupinier


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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Mar 19 Mars 2019 09:53

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2018, des blancs Ă  vitesse variable !
Notre programme de dégustation des 2018 s'est poursuivi la semaine dernière avec des premiers résultats en dents de scie sur les blancs...



Nos dégustations des vins du millésime 2018 en cours d'élevage se sont poursuivies la semaine dernière avec au menu les premières grandes séries de vins blancs : près de 280 échantillons de crus du Mâconnais (Pouilly-Fuissé, Loché, Vinzelles, Saint-Véran, Viré-Clessé) et une centaine de Meursault, villages et premiers crus.

Il convient d'être prudent avec ces dégustations de vins en cours d'élevage et tout particulièrement en vin blanc. L'élevage est en effet sans doute encore plus important en chardonnay qu'en pinot noir, le travail sur lies permettant de continuer d'enrichir les blancs tout en les affinant. De plus, beaucoup de vins ne seront pas mis en bouteilles avant 10-12 mois, parfois plus, aussi prudence... Ceci étant, comme le reconnaissait un vigneron présent à la dégustation à Meursault : "Un élevage assez long peut amener du gras, de la rondeur, des notes boisées agréables, mais c'est un peu artificiel, il ne fait pas de miracle. Si le vin n'avait pas de consistance au départ, il en manquera encore à la mise en bouteille". Voila qui est clair, aussi les vins qui manquaient de concentration, d'extrait sec, à la récolte en raison essentiellement de rendements abondants et de maturités insuffisantes, ce qui n'était pas rare en 2018 en chardonnay (lire article ci-joint), ne seront pas transformés en "premiers de la classe", même par l'élevage en fût de chêne le plus habile. Au final, pour résumer et avec toutes les réserves d'usage, ces deux premières dégustations de vins blancs de Bourgogne 2018 ont néanmoins mis en évidence une hétérogénéité, un écart entre les cuvées de pointe et les autres, que nous n'avions clairement pas constaté sur les toutes premières dégustations consacrées aux vins rouges de la Côte de Nuits (Marsannay, Fixin, Chambolle-Musigny, Morey-Saint-Denis, Vougeot) et de la Côte de Beaune (Monthélie, Auxey-Duresses).

A suivre et d'ailleurs notre programme va se poursuivre cette semaine Ă  partir de mercredi sur la Colline des Cortons (Aloxe-Corton, Pernand-Vergelesses, Ladoix, Corton et Corton-Charlemagne) et le lendemain un peu plus au sud pour Santenay et les Maranges.

Christophe Tupinier


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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Hugo B. » Mar 19 Mars 2019 10:56

On parlait récemment des vins oxydatifs, il y en a qui ne vont pas être décus dans 10 ans...
Bien cordialement,
Hugo Boffy
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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Mar 19 Mars 2019 14:43

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Un tire-bouchon vendu 30 000 $
Un collectionneur américain a déboursé plus de 30 000 $ pour un tire-bouchon au cours d'une vente aux enchères qui s'est déroulée l'automne dernier sur le site Collector Crewcorks.


À ce prix, 100 fois la somme de départ demandée, l'objet est devenu le plus coûteux du genre.

Le tire-bouchon, qui date du XIXe siècle, est un modèle Thomason, breveté en 1802, et fonctionne grâce à une vis double.

Il est recouvert de motifs japonais, une coutume répandue à l'époque, selon un article de Chris Mercer du magazine anglais Decanter.

Au Québec, le vigneron Léon Courville collectionne depuis plusieurs années les tire-bouchons. Une partie de sa collection est d'ailleurs exposée à son vignoble, le Domaine les Brome. Son modèle de la famille Thomason est d'ailleurs l'un de ses préférés.

Le saviez-vous? Cette passion porte le nom d'hélixophilie ou de pomelkophilie


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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Mar 19 Mars 2019 14:55

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Meilleur sommelier du monde : Marc Almert offre le titre à l’Allemagne
Le nouveau Meilleur Sommelier du monde est allemand. A l’issue d’une finale sous haute tension, Marc Almert, jeune professionnel de 27 ans seulement, a décroché le titre mondial.




C’était une finale sous haute pression, opposant trois candidats de haut vol, dont deux extrêmement jeunes : 26 ans pour Nina Jensen, candidate du Danemark, 27 ans pour Marc Almert, candidat de l’Allemagne. Face à eux, l’expérience de Raimonds Tomsons, 38 ans, meilleur Sommelier d’Europe en titre. A l’issue d’une série d’épreuves extrêmement relevées et non exemptes de surprises, c’est Marc Almert (restaurant Baur au Lac, Zurich) qui a été désigné Meilleur Sommelier du monde 2019, offrant pour la seconde fois le titre mondial à son pays après Markus del Monego en 1998. Il devient par la même occasion, sans doute l’un des plus jeunes candidats à se hisser ainsi au sommet de la sommellerie internationale.

Nina Jensen finit deuxième du concours, Raimonds Tomsons troisième. Après Véronique Rivest en 2013, c’est la deuxième fois qu’une femme se place sur la deuxième marche du podium. Le prochain Meilleur sommelier du monde sera-t-il une sommelière ? En attendant ce jour, c’est un jeune sommelier allemand, qui a séduit le public par son humour et sa précision, qui détient le titre.

De l’émotion… à la tension

En préambule de cette finale, les moments d’émotion de sont succédé sur la scène du Elisabeth Center d’Anvers : tous les vainqueurs précédents du concours ASI de Meilleur Sommelier du monde depuis Armand Melkonian en 1969 ont été réunis ; tous, sauf un, le regretté Gérard Basset décédé il y a quelques mois, et auquel a été rendu un magnifique hommage en présence de son épouse Nina et de leur fils. Très ému, le président de l’Association Internationale des Sommeliers Andres Rosberg a annoncé la création d’un « Gérard Basset Lifetime Achievement Award », qui dès octobre 2019 saluera le parcours d’un sommelier de renom.

Après l’émotion venait les secondes de tension, avec la montée sur scène des 66 candidats de cette édition 2019, rapidement ramenés aux 19 demi-finalistes. Puis, Andres Rosberg a appelé un à un les demi-finalistes qui devaient récupérer leur diplôme – ce qui signifiait qu’ils ne disputeraient pas la finale. Se succédaient alors des exclamations de déception ou de surprise dans le public, en constatant que ni la Roumaine Iulia Scavo, ni le Français Antoine Lehebel (candidat de la Belgique), ni le Français Loïc Avril (Australie), ni la Française Julie Dupouy (Irlande), ni le Français David Biraud, candidat de la France, ne continuaient l’aventure. Pour David Biraud, finaliste de la dernière édition en 2016, cette élimination au stade de la demi-finale constitue forcément une déception ; tout comme l’absence de représentant de la sommellerie française en finale constitue une déception pour tous les supporters tricolores. Ainsi va l’exigence d’un concours dont le niveau devient de plus en plus relevé, à l’image d’une sommellerie internationale de plus en plus compétitive.

Sept ateliers en moins de 45 minutes

Pour les trois finalistes, la finale s’est articulée autour de sept ateliers mettant à l’épreuve leurs qualités de dégustateurs*, leurs talents en service, leur culture du vin et leur aptitude à manier les accords mets et vins. Dans le détail :
– servir trois clients demandant deux verres de sauternes et une bière belge, sachant qu’il n’y avait pas de sauternes mais un autre liquoreux, un vin de Constance sud-africain.
– commenter et identifier un vin rouge à l’aveugle.
– servir huit clients réclamant de décanter à la bougie une bouteille de Vega Sicila Unico, tout en répondant à des questions très détaillées sur cette même cuvée. En 6 minutes.
– reconnaître quatre vins blancs à l’aveugle en trois minutes.
– passer une épreuve d’accords mets et vins autour d’un menu imposé, en proposant les vins adéquats à une table de clients dont une ne veut pas de vin rouge sur la viande.
– associer, en 3 minutes, une liste de 24 vins du monde entier à 8 cépages en plaçant chaque vin sous son cépage dominant.
– identifier 10 boissons à l’aveugle, essentiellement des spiritueux et liqueurs incolores (du gin à la grappa en passant par le pisco), en trois minutes seulement.

Après une courte pause, les trois finalistes revenaient sur scène pour une ultime épreuve en simultané : remplir en 5 minutes et de façon aussi égale que possible, 16 verres de champagne en vidant un magnum, sans revenir en arrière.

C’est en passant par toutes ces épreuves, en gérant la pression de l’enjeu, les regards du public et des caméras, mais aussi quelques imprévus (des soucis de micro pour Nina Jensen qui l’ont amenée à percuter une technicienne et à renverser ses verres) que les trois finalistes ont tous démontré leur très haut niveau. Pas de doute, ils méritaient tous d’être sur la scène cet après-midi, et incarnent l’excellence de la sommellerie. Il fallait pourtant un gagnant. Il s’appelle Marc Almert.

* Le jury a révélé à la fin de la finale l’ensemble des vins dégustés depuis le début de la compétition, confirmant le très haut niveau de difficulté de l’ensemble des épreuves à l’aveugle.


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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Jeu 21 Mars 2019 13:53

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David Biraud : ni remords, ni regrets, mais des interrogations
Après le bronze (2010) et l’argent (2016), le représentant de la France au concours ASI du Meilleur sommelier du monde n’avait que l’or pour objectif à l’occasion de sa dernière compétition internationale. Privé de podium, il analyse son parcours et l’épreuve disputée à Anvers.


Entre la deuxième place au concours Chapoutier du Meilleur élève sommelier et l’annonce de son élimination à l’issue de la demi-finale de celui du Meilleur sommelier du monde à Anvers, 25 années de la vie de David Biraud se sont écoulées au rythme des compétitions professionnelles. Vingt-cinq années qui lui ont permis de devenir Meilleur jeune sommelier de France (1998), Meilleur sommelier de France (2002), Meilleur ouvrier de France (2004) et d’effleurer le titre européen à deux reprises (2010 et 2013) et celui planétaire (2016)…





Une belle histoire qui s’achève sans ce titre qui fuit toujours la France. Car pour David Biraud, fidèle à ce qu’il avait dit et répété bien avant de poser ses valises à Anvers, ce concours, quelle qu’en soit l’issue, serait bien son dernier. Mais avant que d’autres ne prennent le relais, l’heure est au bilan. « Arrêter de ne penser que concours, c’était une décision mûrement réfléchie. J’ai une profonde envie de ne plus consacrer de temps à réviser, de déguster pour le plaisir, sans arrière pensée et simplement pour comprendre un vigneron et son terroir. Sans oublier de me consacrer à un projet en sommeil depuis des années que je souhaite mener en parallèle de mes activités au Mandarin Oriental… »

« Marc Almert a été le plus sommelier des trois finalistes »

Malheureusement spectateur de la finale, comme ce fut le cas à Tokyo en 2013, David Biraud a apprécié le contenu. « Les épreuves correspondaient terriblement bien à la réalité de notre métier. A commencer par l’apéritif et au désir de la cliente d’avoir des glaçons dans son verre de Vin de Constance. Moi-même il m’est arrivé de respecter les souhaits de clients qui voulaient des glaçons dans un verre de Petrus ou du Coca dans celui de Louis XIII. On en pense ce qu’on veut, mais c’est le choix de celui qui commande et il faut le respecter. » Quant à la victoire du candidat allemand dont il avait fait la connaissance en novembre dernier à Montréal, à l’occasion de Somm360, elle ne souffrait, à ses yeux, aucune contestation. « Pour moi Marc Almert a été le plus sommelier des trois finalistes. J’ai apprécié sa légèreté, son contact et son humour aussi. Il a remarquablement représenté notre profession ! »

« J’ai réagi comme dans mon restaurant »

Cette finale, il aurait donc aimé la disputer. « Et je pense que je ne suis pas le seul des éliminés de la demi-finale qui a ressenti cela… » Malheureusement, la porte s’est refermée avant, à l’issue d’une phase théorique et de deux ateliers pratiques.

« A l’écrit, en plus des questions, nous avions à rédiger un essai en anglais sur le thème de ce qu’est un bon sommelier. Je n’étais pas entraîné à ça et mon anglais n’était peut-être pas pertinent. Mais est-ce dans ma fonction de sommelier ? L’atelier de service m’a laissé perplexe. Aérer le vin blanc et vider la carafe pour, aussitôt après, faire la même opération avec la deuxième bouteille ne me semblait pas cohérent. Les verres étaient relativement petits et si j’avais fait cela on aurait eu l’impression que je servais des verres à bière. J’ai donc réagi comme dans mon restaurant, en servant chacun de manière normale et en laissant l’autre bouteille au frais. Car il n’était pas question de la mélanger avec un fond de la première. Pourquoi ferais-je en concours ce que je m’interdis au quotidien… »

Des règles fondamentales à respecter

D’autres aspects suscitent des interrogations. A commencer par certaines règles fondamentales qu’il faudrait oublier dans la cadre d’une compétition. « Je pense que notre métier doit respecter certains éléments qui régissent l’art du service. Personnellement, s’ils n’existent plus, j’ai le sentiment de m’éloigner de mon métier. »

Et David Biraud de faire deux remarques précises. « Deux candidats sur trois n’ont pas respecté la préséance afin d’aller au plus vite après avoir décanté la bouteille de Vega Sicilia Unico. Pourtant, servir les dames d’abord me semble une évidence. Et que penser du fait de tourner la bouteille pour la décanter en montrant l’étiquette aux clients tout au long de l’opération. C’est oublier qu’une bouteille est toujours rangée en cave l’étiquette en haut puis qu’elle est présentée dans un panier sans changer de position. Tout cela afin de laisser les éventuels sédiments à l’endroit où ils ont pu se déposer au fil des années. Bien entendu, je ne connais pas la grille de notation, mais il y a matière à s’interroger… »

Et des interrogations plus personnelles, le candidat français en a plein la tête. En premier lieu, il aimerait comprendre où il a péché. « J’ai le sentiment d’avoir progressé, d’avoir gagné plus d’expérience et finalement d’être passé au travers tant dans la théorie que lors des exercices. C’est une grande frustration qui me laisse un goût d’inachevé. »


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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Jeu 21 Mars 2019 13:56

...Moi-même il m’est arrivé de respecter les souhaits de clients qui voulaient des glaçons dans un verre de Petrus...


Ce ne doit pas être un métier facile tous les jours lorsqu'on est passionné...! :D

Dans son cadre professionnel, cet homme est obligé d'accéder à la demande de son client, mais je me demande quand même comment je réagirai si j'étais à sa place... :evil:

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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Jeu 21 Mars 2019 14:00

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Champagne de terroir au domaine Francis Boulard et Fille
Francis Boulard et sa fille Delphine appartiennent à une famille de viticulteurs/vignerons depuis au moins six générations… Le membre le plus ancien de la famille dont on ait retrouvé la trace est né pendant la Révolution Française en 1792 ! C’est dire si on a la culture du vin dans les veines, dans cette famille. Pleins feux sur un domaine que les amateurs plébiscitent.



Le premier contact de Francis Boulard avec la vigne, il le doit à son grand-père, Julien Boulard : à l’âge de 14 ans, le jeune Francis avait eu la permission de tenir les mancherons de la charrue derrière Bijou, un solide cheval ardennais. Le grand-père était en effet l’un des derniers résistants à la mécanisation galopante de l’après-guerre : il utilisait toujours le cheval pour labourer ses quelque 2 hectares de vignes.

Julien Boulard vendait ses vins clairs à des maisons de champagne. C’est son fils, Raymond Boulard, qui décidera de prendre en charge la vinification et de mettre le champagne en bouteille en 1952. Dans les années 1970, le jeune Francis rejoint la société Boulard Frères ; la vinification lui est rapidement confiée, en 1975.

La maison Raymond Boulard & Fils est créée en 1980. Après le décès de leur père, les trois enfants de Raymond Boulard poursuivent ensemble la marche du domaine familial. Francis Boulard, tout en assurant la vinification, s’intéresse de plus en plus à la culture de la vigne. Désireux de s’orienter vers une culture la plus naturelle possible, il donne une impulsion bio au domaine qui se traduit dans les années 2000 par la conversion d’une partie des vignes en agriculture biologique.

En 2009, les trois enfants de Raymond Boulard décident de poursuivre séparément leur chemin professionnel. La maison de Champagne Raymond Boulard n’existe donc plus. Francis Boulard, sa femme Jeanne et sa fille Delphine fondent la maison Champagne Francis Boulard & Fille.

Le vignoble du domaine est situé en grande partie à Cormicy, au nord-ouest de Reims, dans le Massif de Saint-Thierry surnommé “la Petite Montagne de Reims”, sur des terroirs siliceux calcaires.

Les vignes du domaine sont aussi présentes à Paradis (Hameau de Belval dans la vallée de la Marne), à Cuchery, à Cauroy-lès-Hermonville et à Mailly-Champagne, village classé Grand Cru de la Montagne de Reims. L’exposition des vignes est principalement est-nord-est, sud en Vallée de la Marne.

L’orientation vers la culture biologique remonte à plusieurs années : dans le but de faire des vins de Champagne dotés de caractère et les plus naturels qui soient, une bonne partie des vignes de Cormicy ont été travaillées dès 2001 sans désherbant et sans produit de synthèse, contrôlées en conversion depuis 2004 par Ecocert. Elles sont cultivées depuis en biodynamie et certifiées par Ecocert. Maintenant que le domaine Francis Boulard et Fille existe, l’objectif est tout naturellement d’avoir 100% du domaine certifié en culture biologique et la conversion des parcelles qui ne sont pas certifiées a aussitôt été enclenchée.

Le calendrier lunaire permet de connaitre le meilleur moment pour intervenir dans les vignes. Pour Francis Boulard, cela lui rappelle son grand-père qui lui parlait souvent de l’influence de la lune pour les plantations ou le travail de la terre. A l’époque de son grand-père et de son arrière grand-père, la culture était ainsi plus proche de la nature et du rythme des saisons.

Les vignes sont labourées, 4 à 6 fois dans l’année, à l’automne après vendanges, au printemps et jusqu’en juillet. Ces labours légers permettent une bonne maîtrise de l’enherbement naturel.

L’enherbement naturel des vignes favorise la vie des sols et évite l’érosion. Pour lutter contre les maladies, la vigne est protégée en complément du soufre et de la bouillie bordelaise par des applications biodynamiques à base de prêle, d’osier, de saule, d’orties, de valériane et de silice.

Avec les champagnes de Francis Boulard vous allez découvrir l’univers des effervescents très naturels, floraux, délicats… Bettane et Desseauve les qualifient de champagnes de « puristes ». Nous ici, on considère qu’on peut les boire sans (trop) se poser de questions, tant leur finesse contribue à faire l’unanimité, même auprès des plus néophytes de vos convives !


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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Thierry Debaisieux » Jeu 21 Mars 2019 21:51

Alex,

J'ai rencontré pas mal de sommeliers et j'ai la chance de compter parmi eu David Biraud avec qui j'ai pu discuter à plusieurs reprises.
C'est celui qui m'a le plus impressionné par ses connaissances et ses qualités humaines.

Un très grand M.O.F. :good:

Bonne soirée,
Bien cordialement,
Thierry Debaisieux
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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Mar 26 Mars 2019 18:34

C'est celui qui m'a le plus impressionné par ses connaissances et ses qualités humaines.

Un très grand M.O.F. :good:


Bonjour Thierry,

Mon précédent message tenait compte de cet aspect.
Que ce doit être dur, lorsqu'on a la passion et les connaissances de cet homme, de mettre des glaçons dans un verre de Petrus ou de servir ce même vin sur une douzaines d'huitres... :o :shock: :evil:

Alex,
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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Thierry Debaisieux » Mar 26 Mars 2019 19:10

Bonjour Alex.

Devoir servir un Grand Bordeaux sur des huîtres, j'ai déjà vu imposer cela à un sommelier dans un 2 étoiles Relais et Châteaux.
La table voisine lui avait réclamé un Mouton-Rothschild 1986.

De manière plus générale, je suis surpris de voir dans les étoilés Michelin le nombre de clients qui demandent un rouge, souvent un Bordeaux, sur un menu de fruits de mer et de poissons.
On peut penser que la clientèle de ces établissement est composée de personnes qui prennent plaisir à manger et qu'elles sont heureuses avec leurs accords mets-vins qui me déconcertent.
Que faire pour un professionnel sinon respecter ce type de choix?
Ma dernière expérience est assez récente:
à la table voisine, menu de la mer, le vin choisi a été un Corton Clos du Roi 2012 du Domaine de la Pousse d'Or.
Il faut s'y connaître un peu pour sélectionner cette bouteille ;)
Bien cordialement,
Thierry Debaisieux
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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar alex73 » Mer 27 Mars 2019 22:11

Peut-être que certains ne regardent que le prix sur la carte... Et il y a aussi des personnes (j'en connais) qui sont allergiques aux vins blancs, quels qu'ils soient et veulent systématiquement dire un vin rouge.
Bonne soirée
Alexis
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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Thierry Debaisieux » Jeu 28 Mars 2019 09:51

Tu as raison, Alexis, il y a des gens qui disent ne supporter aucun vin blanc.
Et il y a aussi ceux qui n'aiment pas le vin rouge et qui ne veulent que du blanc Ă  table ( j'en connais ;) )

Bonne journée,
Bien cordialement,
Thierry Debaisieux
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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Jeu 28 Mars 2019 11:32

Et il y a aussi ceux qui n'aiment pas le vin rouge et qui ne veulent que du blanc Ă  table ( j'en connais ;) )


Moi aussi Thierry ! je crois que notre cher administrateur, Jean Pierre, est de ceux-la... :lol: :jesors:

Alex,
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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Jeu 28 Mars 2019 12:55

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[Champagne Tasting] Prélude, la cuvée rare de Taittinger
Samedi 6 avril à Paris, Champagne Tasting permettra de déguster « Prélude », une cuvée peu connue de l’offre Taittinger. Le point avec Alexandre Ponnavoy, son chef de caves.




Chez Taittinger, on entend plus souvent parler du Brut Réserve ou même de Comtes de Champagne, que de la cuvée Prélude. Qui est donc Prélude ?
Ce champagne a été imaginé dans les années 90 par Claude taittinger, dans l’optique du passage à l’an 2000. C’était une cuvée assez emblématique dans son projet vins et dans sa présentation, avec une prouesse technique qui permettait de graver une silhouette sur la bouteille. Face à son succès, la cuvée a été relancée après le passage du millénaire. Aujourd’hui, elle est dans la gamme permanente de Taittinger, même si elle n’est pas produite tous les ans.
Tout comme un prélude est le début d’un morceau de musique, c’est une cuvée imaginée pour le début du repas, qui fait merveille sur les produits de la mer.

Comment construisez-vous l’assemblage de Prélude ?
C’est une cuvée élaborée uniquement à partir de grands crus, à parité des pinots noirs (issus des terroirs de Mailly, Bouzy et Verzenay) et des chardonnays (essentiellement Le Mesnil, complété d’Avize et d’Oger). Prélude est un champagne élégant, construit sur la fraîcheur. Bien sûr, il y a un fond de vin apporté par ces pinots noirs et 5 à 6 ans d’élevage, mais nous cherchons toujours le caractère tendu qui l’amène tout naturellement sur le début du repas. Prélude cherche à reproduire un style constant. Même s’il est issu de la vendange d’une seule année, il n’a pas du tout l’approche d’un millésimé.

Comment se positionne Prélude dans la gamme ?
Entre le brut réserve et Comtes de Champagne, Prélude vient en complément du millésimé sur le segment 45-55 €. Les gens qui découvrent Prélude entrent immédiatement dans l’univers Taittinger. C’est une cuvée beaucoup vendue à l’export. Cette année, nous le proposons pour la première fois en magnum pour répondre à la demande de la gastronomie, par exemple sur les grands cocktails.



Infos pratiques
6 avril 2019
de 10h30 Ă  18h30 (fermeture des portes Ă  17h45)
HĂ´tel Salomon de Rothschild
11 Rue Berryer, 75008 Paris

Tarifs
Pass Journée SUR PLACE : 32 €
Pass Journée en prévente : 19 €
Pass Journée en prévente + Abonnement 6 numéros : 25€


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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Thierry Debaisieux » Jeu 28 Mars 2019 13:14

Merci, Alex, pour cette info.
Je n'ai jamais bu Prélude.
Jean-Pierre et Grégory doivent connaître.

Bonne journée,
Bien cordialement,
Thierry Debaisieux
Thierry Debaisieux
 
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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Jeu 28 Mars 2019 13:16

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Elevage des sauvignons
Aux grands vins les grands contenants
Améliorer le potentiel de garde de ses sauvignons tout en les élevant sous bois ? Un bon point distribué aux pièces de bois à volume important.




« Contrairement au chardonnay ou sémillon, un sauvignon élevé en fût est synonyme de perte aromatique et de typicité » introduit Valérie Lavigne, chargée de recherche à l’ISVV de Bordeaux. « Et pourtant, les sauvignons de Bordeaux peuvent être des vins de garde. » Alors comment faire pour pouvoir élever dans les meilleures conditions le potentiel de garde de son sauvignon ? « Nous avons testé l’utilisation de plusieurs contenants en bois de différentes capacités » explique la chargée de recherche. En témoin de l’expérimentation, un sauvignon élevé en cuve inox de 4 hL. « Tous les vins ont été fermentés avec la même levure et ont les mêmes doses de SO2 pour que seulement l’élevage soit pris en compte comme facteur de différenciation » détaille Valérie Lavigne. Puis, trois modalités de contenants en bois sont testées : une barrique neuve de 225 litres, une barrique de deux vins de 225 litres et une cuve bois tronconique de 50 hL. Les thiols volatils, les composés du bois et le glutathion sont analysés puis les vins sont dégustés par un jury de professionnels auquel on demande un classement des vins du plus au moins typé.

Thiols volatils

Pour les thiols volatils, les teneurs des principaux thiols volatils du sauvignon (4-MMP, 3-MH et acétate de 3-MH) sont les plus élevées pour la modalité cuve bois. « La grande différence est surtout concernant le 3 MH. La teneur passe de 2000 ng/L pour les cuves bois et inox à environ 1000 ng/L pour les barriques usagée et neuve » précise Valérie Lavigne. Rappelons que le seuil de perception de ce composé est à 60 ng/L.

Glutathion

Le glutathion est un marqueur de l’aptitude au vieillissement des vins blancs. Plus sa concentration est élevée, meilleure sera sa protection contre l’oxydation. « Au bout de trois mois après FA, la teneur en glutathion est stable, de l’ordre de 35 mg/L pour toutes les modalités » explique Valérie Lavigne « En revanche, après dix mois, à la fin de l’élevage, les teneurs sont différentes selon les modalités ». Là encore, les cuves bois et inox se retrouvent en tête des teneurs en glutathion suivies de la barrique de deux vins puis de la barrique neuve.

Composés du bois

« Les résultats sont logiques » expose la chargée de recherche. « Les teneurs en vanilline, eugénol et whisky lactone ne sont pas présentes dans la modalité cuve inox, et légèrement présentes dans la modalité cuve bois ». Les barriques neuves restent les contenants où ces composés se retrouvent en concentration les plus importantes.

DĂ©gustation

C’est prouvé, même statistiquement : les dégustateurs ont préféré l’incidence de la cuve bois de 50 hL sur l’expression du sauvignon. Suivi par les barriques de deux vins et la cuve inox, tous deux dans le même groupe statistique. La modalité barrique neuve est la moins appréciée. « Cela montre bien que les grands contenants révèlent l’expression la plus caractéristique du cépage » conclut Valérie Lavigne.


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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Jeu 28 Mars 2019 13:18

Thierry Debaisieux a Ă©crit:Merci, Alex, pour cette info.
Je n'ai jamais bu Prélude.
Jean-Pierre et Grégory doivent connaître.

Bonne journée,


Thierry,

J'ai cherché partout sur le net la liste des vignerons présents, je n'ai rien trouvé !

Peut être qu'un intervenant de BDE y sera présent et nous fera un retour.

Alex,
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Re: Audio, vidéo, presse

Messagepar Lalex » Jeu 28 Mars 2019 13:23

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Les ventes de champagne sont en pleine effervescence Ă  l'Ă©tranger
Le chiffre d'affaires global des ventes de champagne a atteint un nouveau record en 2018 à presque 4,9 milliards d'euros, un exercice toutefois contrasté en raison de ventes en baisse sur la France et
le Royaume-Uni, ses marchés principaux.





Le chiffre d'affaires des ventes de champagne s'établit en hausse de 0,3% par rapport à 2017, alors que les volumes baissent de 1,8% à 301,9 millions de bouteille, ont indiqué les responsables du Comité Champagne dimanche 17 mars. "La France et le Royaume Uni, soit 60% des ventes globales, expliquent l'essentiel de ce tassement.

Leur volume respectif recule de 4% et leur chiffre d'affaire de 2%", souligne Jean-Marie Barillère, président de l'Union des maisons de champagne (UMC) et co-président du Comité Champagne, ex-CIVC (Comité Interprofessionnel du Vin de Champagne).

Cette situation inquiète également l'autre co-président Maxime Toubart, président du Syndicat général des vignerons (SGV). "Le volume n'y est pas", dit-il, surtout pour les vignerons indépendants, plus orientés sur les marchés français et européens. "Moins 40 millions d'euros rien qu'en France pour 2018, moins six millions d'euros pour le Royaume Uni", relève aussi Jean-Marie Barillère.

DÉLAISSER L'EUROPE POUR SE CONCENTRER SUR L'AMÉRIQUE ET L'ASIE

C'est au-delà de l'Union européenne que la demande en champagne est désormais la plus dynamique, notamment aux États-Unis (23,7 millions de bouteilles, +2,7%), au Japon (13,6 millions de bouteilles, +5,5%), et dans le monde chinois (Chine, Hong Kong, Taiwan: 4,7 millions de bouteilles, +9,1%). D'autres pays confirment leur potentiel comme le Canada (2,3 millions de bouteilles, +4,8%), le Mexique (1,7 million de bouteilles, +4,3%) et l'Afrique du Sud, qui dépasse pour la première fois le million de bouteilles, soit une hausse de 38,4% par rapport à 2017.

L'Australie, après une augmentation de 134% au cours des dix dernières années, a connu en 2018 un léger fléchissement (-1,8% à 8,4 millions de bouteilles) en raison d'un taux de change moins favorable selon le Comité Champagne. Mais, au global, l'export est resté orienté à la hausse (+0,6% en volume et +1,8% en chiffre d'affaires).

Aux yeux des co-présidents, 2018 dessine une nouvelle géopolitique du champagne où ce baromètre de croissance et marqueur d'optimisme délaisse davantage le continent européen pour conquérir de nouvelles parts de marchés en Amérique et en Asie. "Si les maisons de champagne sont désormais bien préparées à ces marchés lointains, les vignerons indépendants auront besoin d'accompagnement", estime Maxime Toubart.

(Avec AFP)


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