Bouzy
Alfred tritant
1947: magnifique couleur, attaque perlante, matière un peu molle mais belle finesse, c'est plutot bon avec une belle persistance
2008: trop chaud à la dégustation et charcuterie venant biaisé le goût
Barnault / philippe&laurette Secondé
2002: nez cassis/myrtille très prononcé, de la fraîcheur et du soyeux. Il tient après de la charcuterie, chose rare à souligner.
1964: Nez dense et serré, sous/bois, café. Bel équilibre, tout en nuance, un vin doté d'une belle matière et d'une fraîcheur très agréable.
Belle maison.
Baron Dauvergne
2009: ( pas de fût)Un nez qui fait penser à un beaujolais, sur le fruit, sans prétention, peu complexe, la bouche est un peu chaude.
2011: (100%fût neuf) la robe est plus clair, la bouche est incroyable d'intensité sur le bonbon anglais, le bois est parfaitement intégré. Un vin très séducteur, persistant avec une petite finale vanillée?
1996: Un peu chaud, vin qui ne m'a pas emballé en l'état.
Benoît Lahaye
2009: Belle brillance, limpide, rouge grenat soutenu. Le nez est croquant, fruité sur la framboise et frais. Les tanins sont présents, la matière importante. Beau touché de bouche gras et soyeux. A l'aveugle, j'aurais été incapable de lie situé à Bouzy.
1982: Belle robe tuilée, brillante, limpide, peu de matière. En bouche, un côté mentholé, orange. Texture soyeuse, crémeux. Il manque un peu de puissance et de longueur.
Brice
2009: Très belle acidité, les tanins sont bien présents. J'ai trouvé la finale problématique, terreuse. Après un peu d'aération, ce « défaut » disparaît. 18 euros, un peu cher à mon goût!
1942: Pour l'anecdote, son bouchon est un bouchon de champagne retaillé pour l'occasion. Pénurie de bouchon après guerre. Le nez est sur le café et le cassis. La bouche est identique au nez, belle finesse. Il me fait penser à certains merlot évolués de la rive droite bordelaise (grave de vayres). Absence de tanins. Vin bluffant.
Camille Saves
2004: pas de levurage. Le nez est discret et sur le fruit, la bouche est fine, équilibré, sans prétention, peu de matière mais agréable, sans plus.
1947: Nez très expressif, sous/bois, mentholé, café, très belle fraîcheur, il me fait penser à certains vieux gigondas ou rhône sud. 2 bouteilles dégustées, même qualité. Souple, finement acide, gourmand et soyeux. UN TRèsGRAND VIN.
Fromentin-Leclapart
2009: Rouge cerise, clair, peu de matière, le nez est sur le fruit acidulé, épicé. La bouche est légère, la finae est belle sur le fruit, très élégant, facile à boire.
Herbert Beaufort
2005: cassis myrtille au nez, petit côté épicé, pas de trace d'évolution. La bouche est tannique avec une trame serré finement acide. Petit fruit acidulé.
1990: Sentiment que le vin est passé, chaud, pas convaincu mais vin dégusté en fin de journée.
Maurice vesselle
2002: Tuilé et brilant, le nez est épicé, « terreux », il pinote. La bouche est souple, fine acidité, un peu âpre, style bourguignon.
1985: Ambré, marroné. café/épice. Finale serrée, un peu sèche avec malgré tout une belle acidité qui réveille les papilles.
Paul Barra
2004: Clair, un peu évolué, limpide. Petit fruit rouge et épice au nez. La bouche manque de matière, attaque fluette, milieu de bouche creux mais finale puissante et belle aromatique. Maigre et un peu âpre. Déception.
Paul Clouet
Assemblage 2009/10: La robe est rouge cerise, pur limpide et brillante. Au nez, il fait très beaujolais, fruité et frais. L'attaque est perlante, fruité rond en milieu de bouche, finale un peu âpre. Vin avec de la matière et une fine acidité. Vin assez noble.
1959: Le vin est bien équilibré, on est sur du fruit au sirop, sensation de sucrosité. Pas hyper convaincu, question de goût personnel, le vin reste équilibré.